C’est l’obscurité qui répercute ses silences apnéiques
– les mots oubliés pour accompagner le chant, il
chante, hante la nuit réverbérée, cristalline –
des modulations brèves entrecoupées d’apnées
par lesquelles je, subjugué, prend l’eau
boit la tasse du chant qui l’inonde
– le submerge –
mais il se remémore soudain les mouvements de la nage
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire