Des Fioretti ! Oui, il en fait le récit
(et il incorpore délicatement quelque chose d’humain
dans la fable du rossignol
– comme si celui-ci chantait pour lui seul ! –)
et eux l’écoutent.
Dans la chaleur de la page, il
étend l’homme à l’amour, malléable
comme il peut être, il l’allonge
l’allonge encore
l’entrelace avec les faits trillés
comme les sarments ou les fibrilles déliés
de la vigne sur le mur chauffé à blanc.
À la marge, l’homme
prend sa place de brin flottant, brimborion
souplement abreuvé de sons,
il enlumine le chant
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