En buste suspendu et ancré,
pâle au soleil d’avril il statufie
l’assidu, l’épi
l’œil apical
le retour – jamais exactement le même
mais toujours identifié –
le rossignol intarissable
dont il ne sait s’il est un autre
– intarissable dont le chant s’arrête pourtant
et c’est le silence, soudain,
par une nuit pluvieuse et soudaine
sans qu’on sache bien où il est allé –
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire