Il dit : le poème
doit résister à l’intelligence*
et c’est ce qui est réjouissant. Le sens est conçu
à travers l’expérience vécue avec les mots.
Le poète se compose dans son poème,
qui en devient sa forme. Nul besoin d’un palais alors,
comme il n’est nul besoin du palis de l’identité
pour être un monde au monde. Une rose est appendue
à la clef d’arc - et l’esprit au mascaron - parvenue
indifférente à sa maturité.
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