Laquelle à force de dépôts infinitésimaux
donne sa couleur au monde.
À l’éblouissement son pendant de matité
- le monde s’accomplissant, il n’est que d’observer,
partout, cette application à recouvrir -.
Je me perds dans la phrase et
je cherche les mots
qui feront le monde.
Je trouve à partir de pierres sonores
qui s’insinuent dans le décompte
la distance approchée de l’orage qui hante l’éblouissement
- le mouvement instantané de clarté -,
je trouve un son. Là aussi le
monde m’est donné
d'un seul tenant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire