Un amour formel engorge la sensation, nous offusque le sol.
La vigne solennise la transformation.
Son moût attendu montre à la nuit le chemin enivré.
La boue qui obstrue ablue aussi, chargée du pouvoir de
révélation.
Concaténées des pierres touchent le sol que heurte la
réflexion,
plus lucide la chute qui n’est vue que par la lune !
Se forme la chaîne verbale, son flux, ce chant qui vaut
parole, aussi bien, à la mondina longtemps courbée.
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